« À travers cette autobiographie, j’aspire à raviver la flamme de la solidarité maternelle. Dans un monde où les réseaux sociaux projettent souvent des images idéalisées de la parentalité, je souhaite que les lecteurs se reconnaissent et se libèrent de la culpabilité.
Je choisis la transparence. Ce livre est un espace où je partage mes expériences, mes doutes et mes joies en tant que parent.
Dans les couloirs de mon cabinet, des âmes se croisent, des cœurs s’ouvrent. Chaque étape franchie est un pas vers la confiance, chaque regard échangé est une promesse de guérison.
Que ce livre soit un hommage à vous tous, à vos vies, à vos luttes et à vos victoires. Puissiez-vous y trouver un peu de réconfort, un peu d’espoir. Et puissent ces mots encourager ceux qui n’osent pas, ceux qui ne savent pas et ceux qui doutent encore ».
Les parents d’Hatun YALAP-IDE, victimes du génocide assyro-chaldéen, ont fui leur terre natale pour se réfugier en France dans les années 90. À peine âgée de 2 ans à l’époque, l’auteure a malheureusement été marquée par les séquelles du traumatisme de la guerre. Malgré sa timidité, elle a trouvé un petit job étudiant qui lui a ouvert l’esprit et a libéré sa créativité. Elle a poursuivi ses études jusqu’à obtenir un bac +3 en ressources humaines, puis a décroché un CDI dans une grande entreprise des quartiers chics de la région parisienne. Sa rencontre avec son mari l’a ensuite conduite à devenir maman à 23 ans, donnant naissance à un premier garçon, suivi de trois autres fils.
Aujourd’hui, elle est thérapeute en sophrologie dans un cabinet médical, avec une spécialisation en accompagnement des clients atteints de cancer et en périnatalité. Elle exerce également en tant que thérapeute de soutien à la parentalité.
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